Abel D'Halluin a confié au journal "Le Courrier de l'Escaut" : "Depuis que j'ai un crayon en main, j'écris des histoires. J'aimais en raconter, mes parents m'y encourageaient car l'écriture les occupait également : une mère poète, un père historien. Comme lecteur, je me suis rapidement intéressé aux romans anglo-saxons. Les paysages, les mentalités, le folklore de ces pays-là m'attiraient, si bien que je me suis documenté sur le passé et les légendes des peuples. Un synopsis de quarante pages s'est construit, et puis j'ai développé cela dans un roman, le premier volet de quatre... Comment faire naître un ouvrage de plus de six cents pages? Je suis très inspiré, très décidé. J'écris au rythme de musiques de film ou classiques, toujours instrumentales. Comme je visualise aisément les choses, je n'ai pas de peine à décrire des horizons, des situations. Le réalisme confère de la vigueur au fantastique. Pas question d'imiter ni de reprendre ce qui a déjà été fait. Il y a d'ailleurs énormément d'éléments à apporter à une époque déjà dépeinte par des écrivains, puisque l'exploration demeure immense. Je crois que c'est la première fois que les histoires choisies sont rassemblées dans une seule oeuvre".
"Avalon, Reliquaire premier : les Reines de Brocéliande", Abel D'Halluin, éditions Bergame
A noter que l'auteur sera en dédicace le 14 octobre au Carrefour de Froyennes et le 28 octobre au Club des Bastions à Tournai.
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