Rescapé d'une armée en déroute, Dominique Hardenne veut retrouver son village, ses proches et Nathalie dont il est amoureux. Mais une bombe a tué tous les habitants, figés pour l'éternité. Dominique choisit d'y rester avec ses souvenirs et de travailler la terre, avant de sombrer dans la folie et d'imaginer les morts redevenus vivants.
Ce roman est bien écrit, mais je ne l'ai pas aimé. Il donne le cafard et est triste de la première à la dernière page. Aucun rebondissement dans l'histoire. Je n'ai peut-être pas tout compris mais à part que se retrouver seul au monde n'est pas très gai, je ne vois pas pourquoi ce roman est un "livre visionnaire" ou une "allégorie de notre siècle", comme l'affirme la quatrième de couverture.
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Voilà une jugement sévère!
RépondreSupprimerJe ne cornais pas ce roman, mais je reconnais avoir un peu de mal avec les romans de Vincent Engel
Souvent très longs (trop!) on s'y retrouve difficilement dans les personnages, qui sont nombreux
Mais bon chacun ses gouts, et tu ne me décourages pas de lire un roman que je n'avais de toute façon pas l'intention de lire...;-)
Qu'ai-je lu de Vincent Engel? Retour à Montechiaro, je pense.
RépondreSupprimerJe ne connais pas celui-ci.
Jamais lu de roman de Vincent Engel ; de plus si celui-ci est long ; la critique est sévère mais courageuse !
RépondreSupprimerEt moi je reçois les articles de son blog dans ma boîte mail. Comment se fait-ce? Une idée? J'avoue que ma culture est très limitée et se résume davantage à ma famille qu'à mes lectures pour le moment mais j'espère bien rattraper le temps perdu...
RépondreSupprimerVincent Engel vient faire une conférence à Mons, j'irai sans doute l'écouter.
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