Ce 18 août 2011 sort le 20ème roman d'Amélie Nothomb : "Tuer le père" (éditions Albin Michel). Il raconte les rapports et rivalités entre un père quadragénaire et son fils adoptif adolescent dans le monde de la magie.
Fidèle et constante tant à sa maison d'édition qu'à ses lecteurs, Amélie Nothomb nous offre, chaque mois d'août depuis 20 ans, un petit livre qui se lit d'une traite. Elle fait partie des dix écrivains francophones les plus achetés. Ses ventes atteignaient 492.000 exemplaires en 2010. Elle ne laisse personne indifférent : ses fans soulignent son ton vif et intelligent, la surprise de son scénario, ses personnages singuliers et déroutants ; ses détracteurs critiquent la facilité de lecture, la minceur de l'intrigue, l'abondance de sa production, l'inégalité des romans et ses excentricités. En effet, Amélie s'est créée un personnage avec ses vêtements noirs, son chapeau et son rouge à lèvre écarlate ; est-ce ces extravagances qui attirent les lecteurs ou le contenu de ses romans? Mais derrière tout cela, il y a aussi une femme qui a une relation très profonde avec ses lecteurs (dont beaucoup de jeunes) qui font la file plusieurs heures avant le début de sa séance de dédicaces à la Foire du Livre de Bruxelles, qui entretient une correspondance écrite avec certains d'entre eux, ou qui vient de verser tous ses droits d'auteurs de la réédition de "Stupeur et tremblements" en livre de poche aux victimes du tsunami au Japon, un pays qui lui tient très à coeur.
En cliquant ci-dessous sur "Nothomb Amélie", vous (re)trouverez mes comptes-rendus de certains de ses romans.
dimanche 7 août 2011
Inscription à :
Articles
(
Atom
)